Culture de participation

Hacker ou Cracker?

Ces les termes utilisés par << Ehud Tannenbaum >> au moment de son arrestation par le FBI, décrit comme étant un dangereux criminel informatique du fait et selon l’article publié sur le site de l’université de Montréal << Un «hacker» qui étudie au doctorat! » >> qu’il a réussi à << accéder aux serveurs de la NASA, de l’armée de l’air américaine et du centre de sous-marins de l’US Navy >>.

Pour se défendre, ce talentueux électronicien de formation, disait et selon l’article, qu’il était << un hacker et non un cracker >>. Guidé par son plaisir de relever le défi de pénétrer un système informatique sécurisé, son but était loin de détruire ou de voler de l’information.

Contrairement au cracker, qui accède aux différents systèmes informatiques sans autorisation dans le seul but de détourner des fonds et de nuire à la société (c’est le piratage).

En 2017, et selon l’article, ce jeune hacker a rejoint l’université de Montréal du Laboratoire de psychophysique et de perception visuelle du professeur Jocelyn Faubert pour préparer un doctorat. Il s’intéresse de plus prêt à la neurotechnologie.

Voila un excellent exemple illustrant que le hacking peut apporter beaucoup à la science des nouvelles technologie.

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